• Bon vendredi !

     Peu importe le temps
    tout est toujours possible.

     

    À l`âge de mes treize ans, je fie la connaissance par correspondance d'un gentil Algérien avec qui je correspondis six ans et demi. Au travers de lui je découvris, le rêve, la poésie, la passion et l'amour...

    Il était mon prince charmant... nous étions l'un pour l'autre à nos premier amour, quand l'ennuis de l'autre nous prenais, il nous suffisait de regarder les étoiles du soir, elles étaient notre guide de penser, nous imaginant le regard de l'autre poser sur soi...

    J'ai rêvé de marcher à ses coté tout de blanc vêtu, de l'aimer jusqu'à mon dernier souffle ... Mais un jour j'ai perdu espoir croyant ce rêve éphémère et dérisoire.

    Dix sept ans passèrent. Les soirs d'été mes yeux se posaient toujours sur les étoiles tout en me demandant ce qu'était devenue mon premier amour, que j'avais délaissé...

    Le soir de la St-Valentin, je fie pars sur le chat à un ami l'espoir de retrouver mon amour du passé, cette ami demeurant en Algérie me promis de me le retrouver... Le lendemain je n'avais point de mot quand il m'annonça avoir retrouvé mon amour du passé...

    Heureux et craintif de s'être retrouvé... que de mot nous avions à échanger, il avait tout conservé de nos lettres passé ainsi que la mèche de mes cheveux que je lui avais remis enfant... Tout comme moi j`avais tout conservé de ces lettres vieillis à force de les avoir trop relues.

    Ni lui ni moi nous nous étions mariés, les mois qui ont suivis nous nous somme donné rendez vous dans un pays...

    Afin de nous voir après vingt trois ans de connaissance et de voir que l'amour qui renaissait de nouveau avais vraiment sa raison d'être et que ce n'était pas qu'un rêve de jeunesse....

    Quand nous nous sommes rencontré, c'est comme si nos corps se connaissaient depuis toujours, mais qu'ils furent séparé malgré eux... Je n oublierai jamais ce sourire, ce regard et ces bras qui m'ont enlacé lorsque nous nous sommes vue pour la première fois.

    Aujourd'hui, il est mon mari et jusqu'à mon dernier souffle je veux être à ses côté et l'aimer......

    Peux importe le temps, tout est toujours possible......

     

    Isabelle


    10 commentaires
  • Bon jeudi !

     Ne réveillez pas le chien qui dort

     

    Un après-midi, alors que j’étendais la lessive dans la cour arrière, un chien, l’air épuisé, est arrivé. À son collier et son ventre bien rond, j’ai vu qu’il avait un foyer.   Pourtant, quand je suis rentré à la maison, il m’a suivie, s’en est allé d’un pas tranquille dans le corridor et s’est endormi dans un coin. Une heure plus tard, il a demandé la porte et je l’ai laissé sortir. Le lendemain, il était de retour. Il a repris sa place dans le corridor et a dormi pendant une heure.   Le manège a duré plusieurs semaines. Curieuse, j’ai épinglé une note à son collier:   «Tous les après-midi, votre chien vient faire une sieste chez moi.»   Le lendemain, le chien était de retour avec une note différente attachée à son collier:   «Il vit dans une famille de dix enfants. Il essaie seulement de rattraper un peu de sommeil.»      

    Susan F. Roman


    12 commentaires
  •  Le Cirque

     Un jour, quand j'étais adolescent, mon père et moi faisions la queue pour acheter des billets pour le cirque. Finalement, il ne restait qu'une famille devant nous. Cette famille me fit une grande impression. Elle comptait huit enfants, qui semblaient tous avoir moins de douze ans. Il était facile de voir qu'ils n'avaient pas beaucoup d'argent. Vêtus pauvrement mais proprement, les enfants étaient polis et se tenaient par la main, en rang deux par deux, derrière leurs parents. Ils parlaient avec excitation des clowns, des éléphants et des autres numéros qu'ils verraient ce soir-là. On pouvait deviner qu'ils n'avaient jamais assisté à une représentation du cirque. Ce serait le clou de leur jeune vie.   Le père et la mère étaient en tête de la fière ribambelle. La mère tenait la main de son mari, le regardant comme si elle lui disait: «tu es mon prince charmant». Lui, il souriait et, le torse bombé, il lui retournait son regard comme pour lui confirmer qu'elle avait raison.   La préposée aux billets demanda combien de billets le père souhaitait acheter. Ce dernier répondit avec fierté: «S'il vous plaît, huit billets d'enfant et deux d'adulte pour que toute ma famille assiste au spectacle du cirque.»   La préposée aux billets indiqua le prix. L'épouse lâcha la main de son mari et baissa la tête tandis que la lèvre inférieure du père se mettait à trembler. Il s'inclina davantage vers la préposée et demanda: «Combien avez-vous dit?»   La préposée aux billets répéta le prix.   L'homme n'avait pas suffisamment d'argent.   Comment se retourner et faire savoir à ses huit enfants qu'il n'avait pas assez d'argent pour les emmener au cirque?   Voyant ce qui se passait, mon père prit dans sa poche un billet de 20$ qu'il laissa tomber par terre. (Nous étions loin d'être riches et ce, dans tous les sens du terme!) Mon père se pencha, ramassa le billet puis posa la main sur l'épaule de l'homme en lui disant: «Excusez-moi, monsieur, ce billet est tombé de votre poche.»   L'homme savait bien ce qui se passait. Il ne demandait pas l'aumône, mais il était reconnaissant de l'aide apportée dans une situation désespérée, déchirante et embarrassante. Il regarda mon père droit dans les yeux, prit sa main dans les siennes, referma ses doigts fermement sur le billet de 20$ et, pendant qu'une larme coulait le long de sa joue, il répondit, la lèvre tremblante: «Merci, merci, monsieur. Cela représente beaucoup pour moi et ma famille.»   Mon père et moi retournâmes à la voiture et rentrâmes à la maison. Nous n'avions pas assisté à la représentation du cirque ce soir-là, mais nous étions quand même très heureux.      

    Dan Clark  

     

     


    10 commentaires
  • Bon mardi !

    Chiots à vendre    

    Un commerçant était en train de clouer une affiche annonçant des «chiots à vendre» au dessus de sa porte. Des affiches comme celle-là ont le don d'attirer les enfants et, comme par hasard, un petit garçon apparut bientôt sous l'affiche du commerçant. «Combien vendez-vous ces chiots?» demanda-t-il.   Le commerçant répondit: «Entre 30 et 50 dollars.»   Le petit garçon fouilla dans ses poches et en tira de la petite monnaie. «J'ai deux dollars trente-sept, dit-il. Est-ce que je peux les regarder s'il vous plaît?»   Le commerçant sourit et siffla; du chenil ils virent sortir Lady, qui accourut vers eux en passant par le couloir du magasin, suivie de cinq petites boules de poils. Un des chiots traînait derrière à une bonne distance. Aussitôt qu'il le vit, le petit garçon montra du doigt le chiot qui boitait derrière les autres: «Qu'est-ce qu'il a celui-là?»   Le commerçant lui expliqua que le vétérinaire avait examiné le chiot et avait découvert une malformation de la hanche. Il boiterait toujours. Il serait toujours infirme. Le petit garçon devint tout excité. «C'est ce petit chien-là que je veux acheter.»   «Non, dit le commerçant, tu ne veux pas acheter ce chien. Mais si tu le veux vraiment, alors je vais te le donner.»
      Le petit garçon se fâcha. Il regarda le commerçant droit dans les yeux et dit: «Je ne veux pas que vous me le donniez. Ce petit chien vaut aussi cher que les autres et je le paierai plein prix. En fait, je vais vous donner 2.37$ maintenant et .50¢ par mois jusqu'à tant qu'il soit à moi.»   Le commerçant répliqua: «Tu ne veux pas vraiment acheter ce petit chien. Il ne sera jamais capable de courir, de sauter et de jouer avec toi comme les autres chiots.»   Sur ce le petit garçon se pencha, retroussa la jambe de son pantalon et découvrit une jambe gauche affreusement tordue, soutenue par un appareil orthopédique. Il regarda le commerçant et dit doucement: «Eh bien, je ne cours pas très bien moi-même, et le petit chien aura besoin de quelqu'un qui puisse le comprendre!»

          Dan Clark

     


    12 commentaires
  • Bonne semaine à vous !

    La leçon de vie des inséparables      

    Récemment, mon mari et moi nous promenions dans le centre commercial local vers l'heure de fermeture. Nous avons décidé d'entrer pour visiter l'animalerie. En passant près des cages de caniches, poméraniens, chats et tortues, nous avons aperçu quelque chose de charmant: un couple d'inséparables au plumage pêche.   Contrairement à d'autres couples d'inséparables, celui-ci avait l'air d'être vraiment «en amour». Pendant que nous les regardions, ils n'ont cessé de se lover et de se cajoler. Au cours des jours suivants, j'ai souvent pensé à ces deux magnifiques oiseaux. J'admirais leur dévotion et leur présence m'inspirait.   Il semble que ces oiseaux aient fait le même effet à mon mari, car un soir, il est rentré tard du travail avec une cage élégante dans laquelle se trouvaient les deux précieuses créatures. Il les a présentées comme de nouveaux membres de la famille.   Pendant des jours, nous nous sommes creusé la tête pour leur trouver un nom. Nous avons pensé à Ricky et Lucy, George et Gracie et même à Wilma et Fred. Finalement, nous avons opté pour Ozzie et Harriet pour nous rappeler les jours plus simples lorsque l'amour et l'unité dans les couples n'étaient pas seulement un voeu mais un mode de vie.   C'est dans cet esprit que j'ai observé ces inséparables et retenu les observations suivantes sur la vie et l'amour:  

    1. Quand on passe trop de temps à se regarder dans le miroir, on risque de tomber de son perchoir.  2. Ayez toujours l'air de bonne humeur, même si votre cage a besoin d'être nettoyée.   3. Si votre partenaire veut partager votre perchoir, faites-lui une place.   4. Les vrais cadeaux de la vie ne viennent habituellement qu'après avoir cassé quelques écales.   5. Il faut être deux pour se blottir l'un contre l'autre.   6.Il arrive que votre partenaire voie sur vous des puces dont vous ignoriez la présence.   7. On attire plus l'affection en chantant qu'en criant.   8. C'est seulement lorsque vos plumes deviennent hérissées que l'on peut voir vos vraies couleurs.   9. Trop de jouets peuvent distraire.   10.Quand l'amour est dans votre coeur, tous ceux qui vous fréquentent connaissent la joie.  

      Vickie Lynne Agee


    11 commentaires