• Oh temps...suspend ton vol !

    Oh temps... suspend ton vol !



    Tout doucement, le jour s'en est allé,
    La nuit, scintillante d'étoiles, l'a remplaçé !
    Assis près de la cheminée,
    Où crépite les bûches aux odeurs boisées,

    Le vieil homme, au visage buriné... somnole !

    A la douceur des veillées d'antan, il songe...
    La pendule, égrène, son tic-tac monotone
    Il sursaute, et pense au temps qui passe.
    Sur la table, trône l'unique chandelier,
    Une douce chaleur envahit la salle à manger !

    Le vieil homme, rêveur... s'est endormi !

    Oh temps...suspend ton vol !


    12 commentaires
  • Devant la cheminée !

    Devant la cheminée,

    Le soir, à la veillée

    Dans un temps éloigné
    Les marmots , bouche bée
    Ecoutent les aînés
    ,

    Les contes raconter...
    Une odeur de châtaignes grillées,
    De brioche, règne dans la maisonnée,
    Et donne à cette douce soirée,
    Une chaleureuse ambiance feutrée !

    Michelle

    Devant la cheminée !


    10 commentaires
  • Mes poèmes

     

    Lumières du passé !

     

    A la lueur des chandelles,

    Le dos un peu vouté.... elle brode !

    Le silence règne...éternel !

    Lui, assis, bourrant sa pipe,

    Le regard, vague...irréel ! 

     

    Mes poèmes

     

     

     

    L'ombre des flammes,

    Sur les murs, danse,

    Sur une mélodie imaginaire,

    Sournoise et triste

           Que le passé met en lumière !    

     

    Michelle

     

    Mes poèmes

     


    8 commentaires
  • Le gorgebleue à miroir

    Bon dimanche !

    La Gorgebleue à miroir, aussi orthographié Gorge-bleue, est une espèce de passereaux. Il existe de nombreuses sous-espèces, mais seules 3 d'entre elles sont présentes en Europe, et se distinguent aux couleurs de leur gorge.

    L'espèce est aisément reconnaissable à sa large bavette bleue, comportant généralement en son centre une pointe de blanc ou de roux, selon la sous-espèce. Elle est plus visible chez le mâle en livrée nuptiale, alors qu'elle apparaît très pâle, voire pas du tout, chez la femelle et les juvéniles. Cette bavette est bordée en dessous d'un croissant roux. Chez les deux sexes les parties supérieures sont brunes, ainsi que la tête, avec un sourcil blanc.

     

    À l'exception de la bavette, le dessous du corps est blanc, teinté de crème aux flancs et aux sous-caudales et de roussâtre sous les ailes. Les rectrices médianes sont brun foncé, les autres roux vif avec le tiers distal brun foncé.

    Les pattes sont noires à brun noir, le bec noirâtre et les iris brun foncé.

     la Gorge-bleue à miroir fréquente les zones humides en particulier les milieux marécageux parsemés de buissons et de vasières, les rives des cours d'eau calmes et les bras morts, les bords des étangs peuplés de saules et de roseaux. La sous-espèce namnetum est inféodée aux marais littoraux et aux marais salants où elle peuple les fossés et les talus avec des tamaris. Dans le sud-ouest des Deux-Sèvres et le sud Vendée, elles nichent essentiellement dans les champs de colza. Dès que les fleurs se forment, il est facile d'observer les mâles qui s'y perchent pour chanter.

    Lors des migrations, cet oiseau préfère également les milieux humides mais fréquente aussi les champs de pomme de terre, de betterave, de légumes et de maïs, les buissons et les landes.

     

     

    La gorgebleue à miroir

     


    14 commentaires
  • Le pinson des arbres

    Bon week end !

    Le pinson des arbres adulte, d'environ 15 cm de long, ainsi que le juvénile possèdent deux barres alaires blanches, assez significatives et la queue est gris-ardoisé au centre, avec les rectrices blanches. Le bec du pinson est gris-bleu en été et se brunit en hiver, et ses yeux sont marron foncé. Ses pattes et ses doigts sont brun clair à gris foncé. L'hiver, le plumage du pinson se ternit légèrement. Adulte, il pèse entre 20 et 25 g. 

     Le chant est typique, stéréotypé, vigoureux et inlassablement répété. Il consiste en une courte strophe de quatre ou cinq notes aiguës et rapidement débitées, suivie d’une seconde strophe descendante et terminée par un trille éclatant. Début mars, les mâles commencent à bredouiller des chants informes ne possédant que la phrase du début. Avec le temps, ils gagnent en puissance et en durée jusqu’à l’obtention du chant complet avec la fioriture finale. Des variantes locales appelées « dialectes » ont été détectées, à la fois, dans les cris et les chants.

     Il est inféodé globalement aux bois de conifères, décidus ou mixtes en plaine et en moyenne montagne. Mais il fréquente aussi les forêts claires avec leurs lisières et leurs clairières, les landes, les taillis, les vergers, les bosquets, les cultures, les parcs et les jardins des villes et des villages, autant de zones boisées pourvu qu’il dispose d’espace libre entre les arbres d’où sa rareté en forêt dense. Il est très répandu et son adaptation aux milieux ouverts transformés par l’homme a probablement contribué à son extension.

     

     


    11 commentaires