• Pensée du jour:

    Côtes de porc aux pommes de terre

    Ingrédients:( pour 2 côtes de porc)

    persil

    thym

    25cl bouillon de bœuf

    40cl de crème fraiche

    1 oignon

    2 côtes de porc

    3oogr de pomme de terre

    1 gousse d'ail

    Sel/poivre

    Préparation::

    Préchauffer le four Th 6 soit 200°C.

    Pelez et laver les pommes de terre, coupez-les en fines lamelles. Pelez les oignons et coupez-les en rondelles.

    Dans un plat, mettre les pommes de terre et les oignons, par couches alternées, salez et poivrez, ajouter  de l'huile d'olive). Mélanger pour que les pommes de terre et les oignons s'imprègnent de l'huile d'olive, puis ajouter le thym.

    Arroser ensuite avec le bouillon de bœuf, mélanger, puis couvrir le plat avec une feuille d'aluminium pour éviter que les pommes de terre soient sèches. Mettez le plat au four pendant 40 mn.

    Pendant ce temps faire dorer les côtes de porc avec ou sans graisse, 4 mn de chaque côté, salez, poivrez.

    Ciselez le persil, pelez les gousses d'ail et écrasez-les. Mélanger le persil et l'ail avec la crème fraîche.

    Disposez les côtes de porc sur le mélange pommes de terre, oignons, puis ajoutez le mélange crème fraîche, persil, ail sur les côtes de porc, remettez au four encore 20 mn.

    Servir le plat chaud avec une petite salade verte par exemple.

    Côtes de porc aux pommes de terre


    13 commentaires
  • Pensée du jour:

    Mon poème


    15 commentaires
  • https://i.pinimg.com/originals/b4/9b/23/b49b2390a2688ddaf84880cb3b98aa9d.jpg

    Pensée du jour:

    C(est mercredi...on rit

    On ne dit pas Un balcon mais ...

    Une soirée nulle.

    On ne dit pas un aveugle africain mais ...

    Un Ivoirien.

    On ne dit pas Un abricotier mais ...

    Une petite maison au bord de la mer.

    On ne dit pas tueur de blé en série mais ...

    Céréales Killer.

    On ne dit pas téquila mais ...

    Qui va là ?

    On ne dit pas télé mais ...

    Tu es moche.

    On ne dit pas Supertramp mais ...

    Grosse dérouillée.

    On ne dit pas Si j'aurais pu mais ...

    Si j'avais sué j'aurais pué.

    On ne dit pas Samedi mais ...

    Ca me tente.

    On ne dit pas Richelieu mais ...

    Sympa la baraque.

     


    14 commentaires
  • Pensée du jour:

    Une peintre contemporaine

     

    Vicente Romero Redondo

    Vicente Romero Redondo (né à Madrid en 1956) est un peintre et éducateur figuratif espagnol, surtout connu pour ses représentations pastel de filles gracieuses à des moments solitaires dans un cadre romantique, ornés de vêtements astucieux. Ayant résidé sur la Costa Brava pendant des années, son œuvre a été louée pour avoir véhémenté une rare beauté et la sérénité, tout en prenant après la luminosité vive remarquablement vue dans l'art des maîtres méditerranéens.

    Considéré comme un maître pastelliste, Romero Redondo a récemment été distingué en tant qu'invité spécial lors d'événements de pastel internationaux en France, en Turquie et aux Philippines. 

    File:2015. Pastel 110x75 cm.jpg

    http://3.bp.blogspot.com/_w4st7TH384M/TRviM6MiSqI/AAAAAAAANIQ/3YkZyRMjy5I/s800/Vicente%2BRomero%2BRedondo%2B%252819%2529.jpg

    https://4.bp.blogspot.com/-VavSQ8Gl3UY/WCyMajAw1uI/AAAAAAAIFGM/t9oCANNrPHUvfb_j5u7u1PZ5SS9pnWpkQCLcB/s1600/Vicente%2BRomero%2BRedondo-www.kaifineart.com-5.jpg

     


    14 commentaires
  • Pensée du jour:

    Histoire d Haguenau/suite

    La Forêt Sainte de Haguenau.

    Notre forêt a toujours joué un rôle fondamental pour Haguenau. Les premières traces de la présence humaine en Forêt de Haguenau datent du Mésolithique. Durant l’âge de bronze, l’homme colonise l’intérieur de la forêt. Il existe à cette époque une importante production artisanale d’épingles à vêtements et de haches qui sont vendues en échange d’ambre. Haguenau a sans aucun doute contribué à la diffusion de l’ambre de la Baltique vers le sud.

    Site du gros chene, la forêt Sainte de Haguenau

    Aux premiers temps du christianisme, des moines ont établi leur résidence dans le massif de Haguenau où ils pratiquent une vie d’ermites. Du VIe siècle au XIIIe siècle, huit couvents ont été fondés dans la forêt ou sur sa lisière : Arnulfsau, Biblisheim, Koenigsbruck, Marienthal, Neubourg, Seltz, Surbourg et Walbourg. C’est ainsi que la Forêt de Haguenau a été surnommée la « Forêt Sainte ». De ces temps passés ne subsistent que quelques témoins dont le Gros chêne. La Forêt de Haguenau devint à partir du XIème siècle, un domaine de chasse des empereurs du Saint Empire Romain Germanique qui construisirent un château sur une île de la Moder autour duquel s’édifia un village du nom de Haguenau.

    En 1164, Frédéric Barberousse accorda aux habitants le droit de prélever en forêt du bois de chauffage et de construction (chêne et hêtre) selon les besoins. En 1434, l’empereur Sigismond décida d’octroyer la gestion de la forêt conjointement au grand-bailli et à la Ville. C’est le point de départ de l’indivision, qui sera confirmée par une ordonnance du Conseil du roi Louis XIV le 28 août 1696. La forêt appartient alors à parts égales à la Ville de Haguenau et à l’Etat. La Forêt Indivise de Haguenau constitue la plus grande forêt indivise de France.

    Par la suite, la Révolution française fit fermer les couvents et leurs biens furent vendus. Des paroisses aux alentours, comme celle de Saint-Nicolas à Haguenau, purent ainsi acheter des statues, stalles et autres meubles liturgiques. Les sanctuaires furent ensuite détruits ou transformés en église paroissiale comme à Surbourg et Walbourg.


    14 commentaires